scatologie (fart contest)
- J'ajoute : "Traitement spécial pour pervers sexuel"/"Waterpower" (1977), variation autour de "Taxi Driver" de Martin Scorsese (1976).
Selon Etienne Looze :
« Revu dans sa version intégrale (qualité VHS, UHD ici non recommandée) erronément attribuée à Gerard Damiano, et incluant les fameuses et peu ragoûtantes "scènes d'expulsion", le crapoteux "Waterpower" de Shaun Costello (1976). Librement inspiré des exactions de Michael Hubert Kenyon, mieux connu sous le nom d'Illinois Enema Bandit, lequel trouvait une certaine satisfaction à violenter des étudiantes en leur imposant un lavement non consenti... Avec un Jamie Gillis qui semble s'être investi corps et âme dans son rôle de psychopathe, maniant avec une certaine dextérité la poire à lavement et, dans un rôle secondaire, l'androgyne Sharon Mitchell, cause de bien des émois adolescents en ce qui me concerne... Bref, 45 ans plus tard, "Waterpower" reste un must du cinéma pornographique déviant. »
https://www.imdb.com/title/tt0076907/
https://en.wikipedia.org/wiki/Water_Power_(film)
https://www.adultdvdtalk.com/review/waterpower
- J'ajoute "Corps de chasse" (1982) de Michel Ricaud
Selon Toxicavenger de Psychovision :
« Émule pornographique de "La traque" (de Serge Leroy) sur fond de scatologie et de transsexuels, "Corps de chasse" accumule une petite heure durant situations nauséeuses et gros plans gerbants.
Anus lubrifié à l'huile de moteur au cours d'un viol, pénétration à l'aide d'une cartouche ou encore gros plan sur un sexe barbouillé d'excréments après une sodomie ; tout n'est que sexe sale dans "Corps de chasse" jusqu'au final hallucinatoire, brutal et extrême, à la croisée d'un Zebedy Colt (qui signa un film à peu près similaire avec "Farmer's daughters") et d'un Tinto Brass, la théâtralité baroque en moins. »
https://www.psychovision.net/films/critiques/fiche/153-corps-de-chasse
- J'ajoute : "L'Infermiera dal Clistere facile" (2001) avec Jessica Rizzo.
Selon David Didelot :
« L'infirmiera donc, ou la dottoressa : on ne comptera ni les films pornos ni les comédies érotiques sur le sujet, tant et si bien que Miss Rizzo sacrifiera au moins deux fois aux plaisirs de la chair en blouse blanche : dans le film qui nous occupe (2001) et dans "La Dottoressa del Pisello" (2000). Celui-là n'est pas aussi sale que son titre le laisserait supposer, et c'est tant mieux pour les âmes sensibles. De scénario il n'y en a pas pour commencer, mais l'on est habitués chez la dame : en gros, Jessica est infirmière et propose ses services à des gens bien chauds pour nettoyer leur fondement par la poire… Le sien aussi par ailleurs, car on partage tout dans le monde de Jessica : en témoigne la première (longue) séquence, où Pamela Miti en prend plein les fesses avant que la brunette elle-même se fasse limer la turbine - par le clystère et la quéquette d'un chevelu. La voie est libre en un mot, et les gros plans un peu dégueus tomberont comme à Gravelotte… Mais bon, on a vu bien pire dans l'inventaire. Le remède a-t-il agi au moins ? Oh que oui, Pamela s'en donnant à cœur joie avec son homme après cela - sans besoin d'infirmière ou d'un autre mecton.
Protocole de soins, suite. On retrouve Jessica avec trois poilus prétendument mal en point… Pas du zob en tous les cas, puisque la belle se laisse aller à tous les vices en leur compagnie. Et comme il faut bien faire honneur au titre, lavement pour l'un de ces Messieurs dans la foulée. En l'espèce j'accélère… Eh oui, on ne se refait pas bonnes gens (chacun ses phobies et ses limites), même si j'eus le temps d'apercevoir la conclusion du traitement : pissing de la dame au fondement du bonhomme. On se demande bien à quoi servit le lavement !
L'ordonnance se termine par un petit quatuor avec le (vrai) mari de Jessica, Marco Toto. Pour s'amuser un peu, le dynamic duo a convoqué deux blondinettes qui se prendront le clystère dans l'oignon - véritable fil rouge du film. Enfin, sans savoir le pourquoi du comment, Jessica est catapultée chez elle puis chloroformée par un malfrat blackos, qui veut profiter de ses charmes : fini la blouse blanche et la poire à lavement ; place aux bas sexy et au manche mastoc du bonhomme, lequel réveille très vite les ardeurs (anales) de la Signora… (...) »
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